Écrire, c’est plus qu’un passe-temps. C’est un acte profond, une rencontre avec soi, une manière de mettre des mots sur ce qui vibre dedans. Que tu sois une femme, un homme, un jeune adulte ou un senior, si tu ressens l’appel de l’écriture, ce n’est pas un hasard.
Écrire, c’est décider de dire. C’est faire exister ce qui n’a pas encore trouvé sa forme. Ton histoire, ton monde, ton univers méritent d’être racontés. Et peut-être que ce que tu as à dire pourrait changer la vie de quelqu’un. Peut-être que ça commence par changer la tienne.
Dans cet article, tu vas comprendre pourquoi écrire n’est pas une simple envie, mais un chemin de transformation. Tu découvriras des conseils pratiques, des déclics, et des mots qui te pousseront à agir.
1. Ton univers : plus qu’une idée, une réalité vivante
Avant de commencer un roman ou un récit de vie, il y a souvent une idée floue. Une ambiance, une scène, un lieu, une sensation. C’est la graine de ton univers. Tu n’as pas besoin d’avoir tout le plan en tête. Tu as juste besoin d’accepter que cet univers existe en toi et qu’il ne demande qu’à se déployer.
Conseil : fais une carte mentale de ton univers. Même quelques traits, quelques mots, peuvent suffire à poser les bases de ton monde. J’ai des tas de carnets dans lesquels je prends note de mots clés, je fais des dessins, des collages. C’est comme cela que se conçoit chaque histoire dans mon laboratoire secret 😉
Exemple concret : Pour mon premier roman, j’avais l’idée de mon histoire d’amour et aussi l’image d’une vieille clinique abandonnée perchée sur une montagne. Je ne voulais pas écrire une romance, j’avais encore besoin d’écrire sur la résilience, la douleur, la colère, la laideur aussi. Celle de nos parts d’ombres et de nos souffrances. En écrivant, l’histoire a pris forme : la disparition, l’espoir, la grande Histoire, mon histoire familiale en filigrane… Ce monde s’est créé au fur et à mesure que je l’habitais par les mots. J’ai laissé le livre prendre le pouvoir.
Ton univers a besoin de toi pour naître. Et toi, tu as besoin de lui pour te révéler.
2. Tes personnages : la chair et l’âme de ton récit
Ce ne sont pas les idées qui font un bon livre. Ce sont les personnages. Leur profondeur, leurs contradictions, leur évolution.
Créer un personnage, ce n’est pas lui donner un nom et une fiche signalétique. C’est comprendre ce qui l’anime, ce qu’il cherche à fuir, à réparer, à incarner. Ce sont ses blessures, ses désirs, sa manière de parler qui le rendent vivant.
Exercice : écris une scène où ton personnage fait face à un choix difficile. Observe comment il réagit. Ce que tu apprends de lui est précieux. et ce que tu apprends de toi à cette occasion aussi 😉 Ecrire est le meilleur coach, le meilleur thérapeute au monde, et il est là à portée de main.
Un personnage bien construit agit, décide, évolue. Il te dépasse parfois. Et c’est ce qui rend ton livre inoubliable. Je ne sais jamais à l’avance à quoi vont ressembler mes personnages, je ne connais ni leur apparence, ni leur traits de caractère. Mais au fur et à mesure que l’histoire se déploie sous mes doigts, ils apparaissent et m’accompagnent partout où je vais.
3. La peur : ton alliée, pas ton ennemie
Tu as peur de te lancer ? De ne pas être à la hauteur ? C’est bon signe. Cela prouve que tu respectes l’écriture, que tu la prends au sérieux.
La peur est le signe que quelque chose d’important est en train de se préparer. Elle te met au défi de te dépasser.
Astuce : Ne combats pas ta peur. Accueille-la. Écris-lui une lettre. Puis écris ta première scène. Pas pour que ce soit parfait, mais pour que ce soit fait.
Dans mon accompagnement Plume et Sens, je prends le temps de travailler ton POURQUOI avant même de commencer à écrire quoi que ce soit, et on y revient souvent. C’est la BASE ! Et ce n’est pas négociable 😉 Demande moi un premier échange de découverte, de toi, de moi, de ton projet, de ce que je peux peut-être faire pour toi.
4. L’écriture : un métier de patience et de passion
On croit parfois que les auteurs écrivent 8 heures par jour avec un sourire inspiré. Ce mythe empêche beaucoup de talents de se révéler.
La réalité, c’est qu’on écrit dans les interstices : 20 minutes le matin, 30 minutes dans le train, 10 minutes pendant que les enfants dorment. C’est un métier de constance plus que de génie. De discipline aussi mais toujours avec du plaisir : le plaisir est ton seul moteur.
Conseil : crée un rituel d’écriture court, régulier, accessible. Ce sont les petits pas qui mènent au sommet.
Oui, tu as bien lu : la peur de réussir existe. Elle est sournoise. Elle te fait croire que ton texte n’est « pas prêt ». Elle te pousse à réviser sans fin, ou à ne jamais montrer ce que tu écris. Ecoute, lis ou regarde des reportages sur les grands écrivains, ils le disent tous. Ils doutent, ils recommencent, ils raturent, ils essaient encore mais jamais ils n’abandonnent. Ce sont de véritables sources d’inspiration pour moi.
Rappel : aucun chef-d’œuvre n’a été publié sans relecture, sans coupes, sans doutes. Mais pour être relu, il faut d’abord avoir osé écrire.
Tu ne veux pas que ce livre reste dans ton tiroir, si ? Il a quelque chose à offrir. Et toi aussi.
6. Pourquoi tu écris, au fond ?
Tu crois peut-être que ton histoire est banale, ou que ce que tu veux dire a déjà été dit. Mais personne ne l’a encore raconté à ta manière.
Tu écris peut-être pour comprendre, pour témoigner, pour libérer la parole. Tu écris peut-être parce que c’est vital, parce que ça te brûle les tripes.
J’écris parce que je ne peux pas ne pas écrire. Quand j’ai écrit mon premier livre De l’absence naît sens , c’était vital. J’avais besoin de crier, d’hurler ma souffrance, enfin. Moi qui n’en n’avais jamais parlé. Et ce livre m’a non seulement libérée de ma colère, de mon envie de mourir, mais il a changé le cours de ma vie, et m’a rendu l’envie de vivre. Puis j’ai eu l’envie d’écrire un roman et Les vies dansent est né car je voulais parler de l’évidence de mon histoire d’amour avec Olivier, l’homme qui parage ma vie désormais. Et avant même de l’avoir terminé, un 3ème livre s’est présenté. Il me réveillait la nuit avec des paragraphes entiers qui s’écrivaient tout seuls. Je n’avais plus envie d’écrire sur l’inceste. En tout cas pas sur celui que j’avais vécu. Mais plusieurs personnes venaient à moi me livre, me confier leur histoire et moi en tant que coach et thérapeute, je leur redonnais le goût de vivre, je réactivais la capacité à rebondir à être heureux malgré, quand même. Et il fallait que j’écrire ce livre pour raconter comment on peut se sortir du marasme. C’est ainsi que Ne raconte pas d’histoires ! est né.
Alors, peu importe ta raison : elle est légitime. Et je vais te dire un secret, tu ne sais peut-être pas encore pourquoi tu as envie d’écrire et on s’en fout. C’est en écrivant que tu comprendras pourquoi tu écris.
Mon rêve est de faire d’écrivain mon métier, de vivre de mes mots. Et je poursuis ce rêve jusqu’à le rattraper un jour, bientôt et chaque jour m’en rapproche.
Et si c’était le moment d’écrire ?
Tu as une histoire. Tu as une voix. Tu as le droit de la poser sur le papier. Et si tu te lances aujourd’hui, tu n’écris pas juste un texte. Tu poses la première pierre d’une nouvelle version de toi.
Alors, tu commences quand ?
Bonus : 3 astuces pour ne pas abandonner
1. La règle des 10 minutes
Commence par 10 minutes par jour. L’important, ce n’est pas la durée, c’est l’engagement. Une page par jour, ça fait 365 pages en un an.
2. Le carnet d’idées
Garde toujours sur toi un carnet (ou une application). Note chaque idée, chaque dialogue, chaque image qui te traverse. Ce sont des graines à faire germer plus tard.
3. Trouve ta tribu
Rejoins un groupe d’auteur.e.s, en ligne ou en présentiel. Partage, reçois, encourage. L’écriture est solitaire, mais elle n’a pas à être isolée. J’ai créé un groupe gratuit sur TELEGRAM pour être entre auteures ou futures auteures, j’y partage des jeux d’écriture, des cadeaux, de smasterclass … C’est juste ici
Alors, as tu l’envie d’écrire ? Sais tu pourquoi ?
Blog
Pourquoi écrire ? Pourquoi dévoiler ton univers et raconter ton histoire ?
Écrire, c’est plus qu’un passe-temps. C’est un acte profond, une rencontre avec soi, une manière de mettre des mots sur ce qui vibre dedans. Que tu sois une femme, un homme, un jeune adulte ou un senior, si tu ressens l’appel de l’écriture, ce n’est pas un hasard.
Écrire, c’est décider de dire. C’est faire exister ce qui n’a pas encore trouvé sa forme. Ton histoire, ton monde, ton univers méritent d’être racontés. Et peut-être que ce que tu as à dire pourrait changer la vie de quelqu’un. Peut-être que ça commence par changer la tienne.
Dans cet article, tu vas comprendre pourquoi écrire n’est pas une simple envie, mais un chemin de transformation. Tu découvriras des conseils pratiques, des déclics, et des mots qui te pousseront à agir.
1. Ton univers : plus qu’une idée, une réalité vivante
Avant de commencer un roman ou un récit de vie, il y a souvent une idée floue. Une ambiance, une scène, un lieu, une sensation. C’est la graine de ton univers. Tu n’as pas besoin d’avoir tout le plan en tête. Tu as juste besoin d’accepter que cet univers existe en toi et qu’il ne demande qu’à se déployer.
Conseil : fais une carte mentale de ton univers. Même quelques traits, quelques mots, peuvent suffire à poser les bases de ton monde. J’ai des tas de carnets dans lesquels je prends note de mots clés, je fais des dessins, des collages. C’est comme cela que se conçoit chaque histoire dans mon laboratoire secret 😉
Exemple concret : Pour mon premier roman, j’avais l’idée de mon histoire d’amour et aussi l’image d’une vieille clinique abandonnée perchée sur une montagne. Je ne voulais pas écrire une romance, j’avais encore besoin d’écrire sur la résilience, la douleur, la colère, la laideur aussi. Celle de nos parts d’ombres et de nos souffrances. En écrivant, l’histoire a pris forme : la disparition, l’espoir, la grande Histoire, mon histoire familiale en filigrane… Ce monde s’est créé au fur et à mesure que je l’habitais par les mots. J’ai laissé le livre prendre le pouvoir.
Ton univers a besoin de toi pour naître. Et toi, tu as besoin de lui pour te révéler.
2. Tes personnages : la chair et l’âme de ton récit
Ce ne sont pas les idées qui font un bon livre. Ce sont les personnages. Leur profondeur, leurs contradictions, leur évolution.
Créer un personnage, ce n’est pas lui donner un nom et une fiche signalétique. C’est comprendre ce qui l’anime, ce qu’il cherche à fuir, à réparer, à incarner. Ce sont ses blessures, ses désirs, sa manière de parler qui le rendent vivant.
Exercice : écris une scène où ton personnage fait face à un choix difficile. Observe comment il réagit. Ce que tu apprends de lui est précieux. et ce que tu apprends de toi à cette occasion aussi 😉 Ecrire est le meilleur coach, le meilleur thérapeute au monde, et il est là à portée de main.
Un personnage bien construit agit, décide, évolue. Il te dépasse parfois. Et c’est ce qui rend ton livre inoubliable. Je ne sais jamais à l’avance à quoi vont ressembler mes personnages, je ne connais ni leur apparence, ni leur traits de caractère. Mais au fur et à mesure que l’histoire se déploie sous mes doigts, ils apparaissent et m’accompagnent partout où je vais.
3. La peur : ton alliée, pas ton ennemie
Tu as peur de te lancer ? De ne pas être à la hauteur ? C’est bon signe. Cela prouve que tu respectes l’écriture, que tu la prends au sérieux.
La peur est le signe que quelque chose d’important est en train de se préparer. Elle te met au défi de te dépasser.
Astuce : Ne combats pas ta peur. Accueille-la. Écris-lui une lettre. Puis écris ta première scène. Pas pour que ce soit parfait, mais pour que ce soit fait.
Dans mon accompagnement Plume et Sens, je prends le temps de travailler ton POURQUOI avant même de commencer à écrire quoi que ce soit, et on y revient souvent. C’est la BASE ! Et ce n’est pas négociable 😉 Demande moi un premier échange de découverte, de toi, de moi, de ton projet, de ce que je peux peut-être faire pour toi.
4. L’écriture : un métier de patience et de passion
On croit parfois que les auteurs écrivent 8 heures par jour avec un sourire inspiré. Ce mythe empêche beaucoup de talents de se révéler.
La réalité, c’est qu’on écrit dans les interstices : 20 minutes le matin, 30 minutes dans le train, 10 minutes pendant que les enfants dorment. C’est un métier de constance plus que de génie. De discipline aussi mais toujours avec du plaisir : le plaisir est ton seul moteur.
Conseil : crée un rituel d’écriture court, régulier, accessible. Ce sont les petits pas qui mènent au sommet.
Regarde cet article : Ecrire tes 3 premières pages
5. Le perfectionnisme et la peur de réussir
Oui, tu as bien lu : la peur de réussir existe. Elle est sournoise. Elle te fait croire que ton texte n’est « pas prêt ». Elle te pousse à réviser sans fin, ou à ne jamais montrer ce que tu écris. Ecoute, lis ou regarde des reportages sur les grands écrivains, ils le disent tous. Ils doutent, ils recommencent, ils raturent, ils essaient encore mais jamais ils n’abandonnent. Ce sont de véritables sources d’inspiration pour moi.
Rappel : aucun chef-d’œuvre n’a été publié sans relecture, sans coupes, sans doutes. Mais pour être relu, il faut d’abord avoir osé écrire.
Tu ne veux pas que ce livre reste dans ton tiroir, si ? Il a quelque chose à offrir. Et toi aussi.
6. Pourquoi tu écris, au fond ?
Tu crois peut-être que ton histoire est banale, ou que ce que tu veux dire a déjà été dit. Mais personne ne l’a encore raconté à ta manière.
Tu écris peut-être pour comprendre, pour témoigner, pour libérer la parole. Tu écris peut-être parce que c’est vital, parce que ça te brûle les tripes.
J’écris parce que je ne peux pas ne pas écrire. Quand j’ai écrit mon premier livre De l’absence naît sens , c’était vital. J’avais besoin de crier, d’hurler ma souffrance, enfin. Moi qui n’en n’avais jamais parlé. Et ce livre m’a non seulement libérée de ma colère, de mon envie de mourir, mais il a changé le cours de ma vie, et m’a rendu l’envie de vivre. Puis j’ai eu l’envie d’écrire un roman et Les vies dansent est né car je voulais parler de l’évidence de mon histoire d’amour avec Olivier, l’homme qui parage ma vie désormais. Et avant même de l’avoir terminé, un 3ème livre s’est présenté. Il me réveillait la nuit avec des paragraphes entiers qui s’écrivaient tout seuls. Je n’avais plus envie d’écrire sur l’inceste. En tout cas pas sur celui que j’avais vécu. Mais plusieurs personnes venaient à moi me livre, me confier leur histoire et moi en tant que coach et thérapeute, je leur redonnais le goût de vivre, je réactivais la capacité à rebondir à être heureux malgré, quand même. Et il fallait que j’écrire ce livre pour raconter comment on peut se sortir du marasme. C’est ainsi que Ne raconte pas d’histoires ! est né.
Alors, peu importe ta raison : elle est légitime. Et je vais te dire un secret, tu ne sais peut-être pas encore pourquoi tu as envie d’écrire et on s’en fout. C’est en écrivant que tu comprendras pourquoi tu écris.
Mon rêve est de faire d’écrivain mon métier, de vivre de mes mots. Et je poursuis ce rêve jusqu’à le rattraper un jour, bientôt et chaque jour m’en rapproche.
Et si c’était le moment d’écrire ?
Tu as une histoire. Tu as une voix. Tu as le droit de la poser sur le papier. Et si tu te lances aujourd’hui, tu n’écris pas juste un texte. Tu poses la première pierre d’une nouvelle version de toi.
Alors, tu commences quand ?
Bonus : 3 astuces pour ne pas abandonner
1. La règle des 10 minutes
Commence par 10 minutes par jour. L’important, ce n’est pas la durée, c’est l’engagement. Une page par jour, ça fait 365 pages en un an.
2. Le carnet d’idées
Garde toujours sur toi un carnet (ou une application). Note chaque idée, chaque dialogue, chaque image qui te traverse. Ce sont des graines à faire germer plus tard.
3. Trouve ta tribu
Rejoins un groupe d’auteur.e.s, en ligne ou en présentiel. Partage, reçois, encourage. L’écriture est solitaire, mais elle n’a pas à être isolée. J’ai créé un groupe gratuit sur TELEGRAM pour être entre auteures ou futures auteures, j’y partage des jeux d’écriture, des cadeaux, de smasterclass … C’est juste ici
Alors, as tu l’envie d’écrire ? Sais tu pourquoi ?
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