Plus de 40 % des gens rêvent d’écrire un livre. Et pourtant, combien vont au bout ? Une poignée.
Pas par manque de talent. Pas par manque de temps. Pas parce qu’ils n’ont rien à dire. Mais parce qu’ils ne s’autorisent pas à grandir.
Étrange, non ? C’est là qu’entre en scène un saboteur bien caché : 👉 Le syndrome de Peter Pan.
C’est quoi le syndrome de Peter Pan… version auteure ?
Comment Peter Pan peut t’aider à devenir le meilleur auteur de livre que tu puisses être ?
Ce syndrome touche ceux qui ne veulent pas grandir, au sens psychique du terme. Dans le monde de l’écriture, il prend des formes plus subtiles mais tout aussi bloquantes :
Tu rêves d’écrire, mais tu remets toujours à demain.
Tu écris, mais tu ne termines jamais.
Tu termines, mais tu ne fais rien de ton texte.
Tu veux rester dans le plaisir de créer, mais pas affronter la réalité d’être lue.
Tu préfères rêver ton livre que le faire exister.
👉 Comme si publier signifiait : « Je vais devoir assumer. » Assumer qui je suis, ce que je dis, ce que je révèle. Et ça… c’est vertigineux.
L’écriture comme terrain de jeu
Ecrire un roman c’est une histoire de structure
Peter Pan adore jouer. Il veut des sensations, des projets, de l’élan, de la nouveauté. Mais pas de structure. Pas d’engagement. Pas de confrontation à l’échec.
👉 Il commence un roman… Puis un autre… Puis change d’idée… Puis veut une méthode miracle… Mais il ne veut pas vivre la traversée, ni la solitude, ni la relecture, ni la confrontation à sa propre voix.
Pourquoi c’est important de sortir de ce syndrome pour écrire un vrai livre
Au fait, c’est quoi un vrai livre ?
Parce qu’un vrai livre te demande de :
T’engager.
Aller au bout.
Te structurer.
Dire ce que tu as à dire, même si ça bouscule.
Te tenir droite dans ta parole.
Écrire un livre, ce n’est pas jouer à l’auteure. C’est devenir une auteure.
Et cette bascule fait peur. Elle nous sort de l’enfance. Elle nous invite à prendre notre place, pour de vrai.
Les 10 « non-droits » du syndrome de Peter Pan
Voici ce que te fait croire ce syndrome (de façon très sournoise) :
Tu n’as pas le droit d’échouer.
Tu n’as pas le droit de faire un livre imparfait.
Tu n’as pas le droit de décevoir.
Tu n’as pas le droit de t’exposer.
Tu n’as pas le droit de dépasser les maîtres.
Tu n’as pas le droit d’y croire vraiment.
Tu n’as pas le droit de vendre.
Tu n’as pas le droit de réussir.
Tu n’as pas le droit de faire mieux que les autres.
Tu n’as pas le droit d’être une adulte libre et brillante.
Tu sens ce poids ? Cette auto-censure ? Alors, viens on inverse tout ça…
Les 10 droits sacrés de l’auteure libre
Tu as le droit de :
Ne pas être parfaite, et écrire quand même.
Échouer, recommencer, réécrire, apprendre.
Être fière de ton livre, même s’il ne plaît pas à tout le monde.
Écrire pour guérir, transmettre, bousculer.
Gagner ta vie grâce à ta plume.
Être lue, visible, entendue.
Mettre des limites (et du cadre).
Te faire accompagner, comme une pro.
Te faire confiance.
Briller. Oui, toi. Maintenant.
Comment en sortir (concrètement) ?
1. Reconnaître les signes
Observe : où est-ce que tu fuis ? Tu commences mille choses ? Tu ne vas jamais au bout ? Tu passes ton temps à apprendre sans jamais faire ? Tu es peut-être coincée dans un jeu d’enfant.
2. Décider de grandir
L’écriture te demande une mue. Décide que tu vas y aller. Que tu vas te poser. Structurer. Terminer.
3. T’entourer
Peter Pan se soigne par la responsabilisation ET par la sécurité affective. Un cadre, une méthode, un accompagnement. Ce n’est pas une faiblesse, c’est une intelligence.
💡 Ce que tu peux faire dès maintenant :
Te poser cette question : ai-je vraiment envie d’être auteure, ou juste de le rêver ?
Te faire accompagner dans une méthode claire, avec un cap, un rétroplanning, et de l’amour.
claustrophobie hypnose colmar
📣 Tu veux sortir du rêve et écrire VRAIMENT ton livre ?
Tu n’as pas besoin d’être parfaite, ni experte. Tu as juste besoin d’un cap, d’une méthode… et de te donner le droit.
👉 Mon accompagnement Plume et Sens est là pour ça. Écrire ton livre de A à Z, pas à pas, avec structure, profondeur, souffle… et sans fuir. Parce qu’on n’a pas besoin de fée clochette. On a besoin d’une femme ancrée, prête à écrire sa légende.
