Séverine Fäh
23/02/2024
Avez vous peur de l’hypnose ?
h, cette fameuse peur de l’hypnose…
Elle est tenace. Et elle n’a rien à voir avec l’hypnose en elle-même.
Elle vient de ce qu’on imagine. De ce qu’on projette. De ce qu’on a vu à la télé ou sur une scène.
Bref : de ce qu’on ne comprend pas.
Alors pourquoi les gens ont-ils peur de l’hypnose ?
Parce que derrière cette peur, il y a des fantasmes, des croyances… et surtout, des blessures.
C’est LA grande peur.
« Et si je faisais ou disais quelque chose contre ma volonté ? »
Mais l’hypnose thérapeutique n’est pas de la manipulation. C’est un état naturel, où tu restes conscient, présent, maître de toi.
👉 En réalité, ce qui fait peur ici, c’est pas l’hypnose.
C’est le lâcher-prise.
C’est oser se déposer. Faire confiance.
Et pour certains, c’est plus effrayant que tout.
L’hypnose ouvre une porte vers l’inconscient.
Et l’inconscient, c’est tout ce qu’on a enfoui, évité, verrouillé.
👉 Alors oui, il peut y avoir la peur de faire face à une vérité, une blessure, un souvenir.
Mais l’hypnose n’impose rien.
Elle accompagne en douceur, au rythme de la personne.
Ce que tu n’es pas prêt(e) à rencontrer, ton inconscient ne te le montrera pas.
Merci, hypnose de spectacle 🙃
On a tous vu ces gens faire la poule sur scène. Alors forcément, ça alimente les fantasmes.
Mais l’hypnose thérapeutique n’a rien à voir.
Pas de pouvoir magique.
Pas de contrôle mental.
Juste une collaboration subtile entre deux êtres humains : un guide et un voyageur.
👉 Le vrai pouvoir, c’est celui de ton inconscient. Et tu l’as déjà.
« Et si ça ne marche pas sur moi ? »
« Et si je suis trop cérébrale, trop résistante, trop analytique ? »
👉 Rassure-toi : l’hypnose marche pour tous, mais chacun à sa façon.
Certains ressentent tout.
D’autres vivent ça comme une douce rêverie.
L’important, ce n’est pas ce que tu vis pendant, mais ce qui change après.
Et si tu arrêtais d’avoir peur ?
Et si tu comprenais enfin ce que tu veux vraiment ?
Et si tu te rendais compte que tu n’as plus besoin de subir ?
👉 Là, on touche au cœur.
Car ce qui effraie parfois… ce n’est pas l’ombre, c’est la lumière.
Le fait que tu peux te transformer. Que tu n’as plus d’excuse. Que tu es libre.
Les gens n’ont pas peur de l’hypnose.
Ils ont peur de ce qu’elle pourrait réveiller…
…et de ce qu’ils pourraient devenir, une fois réveillés.
Lorsqu’une personne hésite à se tourner vers l’hypnose, elle entre souvent dans une phase de recherche sur internet pour éclairer ses doutes et trouver des réponses. En effet, l’hypnose peut faire peur lorsqu’elle est méconnue. Comme souvent, lorsqu’on ne maîtrise pas quelque chose cela nous fait peur, a fortiori lorsqu’on se laisse influencer par des clichés.
Voici quelques aspects clés pour éclaire votre recherche :
Vous cherchez probablement des informations de base sur ce qu’est réellement l’hypnose, sur les principes fondamentaux, le fonctionnement du processus hypnotique, et les expériences d’autres personnes peuvent contribuer à démystifier cette pratique.
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Vous souhaitez probablement en savoir davantage sur l’efficacité de l’hypnose pour traiter des problématiques spécifiques. Des témoignages, des études cliniques et des exemples de réussite dans des domaines tels que la gestion du stress, le sommeil, ou le sevrage tabagique peuvent rassurer sur l’impact positif de l’hypnose.
Lisez cet article sur l’efficacité de l’hypnose.
Bien loin de l’hypnose de spectacle, une séance en ligne ou en cabinet se veut avant tout respectueuse de votre intégrité.
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La recherche se dirigera également vers la sélection d’un praticien qualifié. Des critères tels que les qualifications, les certifications, les retours de clients antérieurs, et la spécialisation dans des domaines particuliers seront pris en considération.
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La personne en quête d’informations pour choisir l’hypnose pourrait également explorer d’autres méthodes de bien-être et de développement personnel, comparant l’hypnose avec des approches comme la méditation, la sophrologie, ou la psychothérapie. Comprendre les différences entre ces pratiques l’aidera à choisir celle qui correspond le mieux à ses besoins.
Lisez cet article sur la méditation ou celui-ci sur la sophrologie.
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Tu veux avoir confiance en l’hypnose ?
Alors laisse-moi te dire ceci : l’hypnose, ce n’est pas une baguette magique.
C’est un miroir. Un miroir bienveillant, puissant, subtil.
Et pour lui faire confiance, il faut d’abord… te faire confiance à toi.
Tu vis déjà l’hypnose tous les jours, sans t’en rendre compte :
👉 L’hypnose, ce n’est pas « partir ailleurs ». C’est entrer plus profondément en toi. En sécurité. Avec un guide.
L’hypnose ne t’implante rien. Elle ne t’impose rien.
Elle ouvre une porte, et c’est ton inconscient qui choisit quoi faire, quoi entendre, quoi transformer.
Et ton inconscient, crois-moi, il est de ton côté.
Des milliers de personnes l’utilisent chaque jour pour :
👉 Et elles ne deviennent pas des zombies.
Elles deviennent elles-mêmes. Libérées. Ancrées. Alignées.
Aucune méthode ne te respecte autant que l’hypnose bien pratiquée.
Pas besoin de tout raconter, ni d’expliquer.
On travaille avec l’intelligence invisible de ton inconscient, à ton rythme, sans forcer.
Tu ne confierais pas ton cœur à n’importe qui.
Alors choisis un hypnothérapeute en qui tu te sens :
👉 C’est la relation de confiance qui crée la magie, pas la technique seule.
Tu peux lire tous les livres du monde sur la natation…
Mais à un moment, il faut entrer dans l’eau.
👉 Ose faire une séance. Une vraie.
Et observe ce qui se passe en toi, sans attente, sans pression.
Parfois ce n’est pas spectaculaire.
Mais tu dors mieux. Tu réagis différemment. Tu te sens plus légère. Tu oses dire non.
Ce sont des signes. Des graines. Des racines qui poussent.
Avoir confiance en l’hypnose, c’est croire que tu es capable de changer.
C’est dire oui à un accompagnement subtil et profond.
C’est te rappeler que tu n’es pas cassée… juste en train de te retrouver.
Ce qui explique la peur des médecines alternatives, ce n’est pas un manque d’efficacité.
C’est souvent un mélange de méconnaissance, de conditionnement culturel… et de peur de l’inconnu.
Autrement dit : ce n’est pas la pratique en elle-même qui fait peur.
C’est ce qu’elle vient remettre en question.
On nous a appris à faire confiance :
Or, les médecines alternatives – comme l’hypnose, la sophrologie, l’énergétique, l’acupuncture, etc. – reposent souvent sur l’expérience subjective, les ressentis, le subtil, le symbolique.
👉 Résultat : ce qui ne se prouve pas avec une IRM… est jugé suspect.
Et dans notre culture très cartésienne, ce qui n’est pas « prouvé » = « pas crédible ».
Les médecines alternatives nous parlent d’énergie, d’émotions refoulées, de mémoire cellulaire, de traumas invisibles.
Elles flirtent parfois avec le sacré, le spirituel, le mystique.
👉 Pour une société qui valorise la raison, la logique, la maîtrise, tout ça peut vite être vu comme « ésotérique », « sectaire », voire « dangereux ».
Mais en vérité ?
Ce qu’on craint souvent, ce n’est pas que ce soit faux…
C’est que ça soit vrai. Et que ça vienne ébranler notre manière de voir le monde.
Les médecines alternatives ne te « réparent » pas.
Elles t’invitent à te reconnecter à ton pouvoir personnel, à explorer ce que ton corps, ton inconscient ou ton âme essaient de te dire.
👉 Et ça, c’est déstabilisant.
Parce que c’est plus facile de dire :
“Docteur, donnez-moi une pilule.”
…que de s’asseoir face à soi-même et se demander :
“Qu’est-ce qui a besoin d’être écouté en moi ?”
Soyons honnêtes : certaines pratiques alternatives sont mal encadrées.
👉 Cela alimente la méfiance légitime.
Et certains médias en font leur miel : un cas isolé devient une généralité, et on jette le bébé avec l’eau du bain.
Les médecines alternatives rappellent qu’il existe d’autres chemins vers la guérison, complémentaires ou parfois plus profonds que ce que la médecine classique propose.
👉 Et ça dérange.
Parce que ça remet en question :
Les médecines alternatives font peur… parce qu’elles ouvrent des portes intérieures.
Elles demandent du discernement, oui.
Mais surtout : elles nous rappellent que nous avons en nous les ressources pour aller mieux. Et ça, ça change tout.
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